Le pavillon de la république du Sénégal s'efforce d'illustrer une ambition légitime et exaltante, exprimée un jour par le président Léopold Sédar Senghor dans les termes suivants: "Redevenir, comme nos ancêtres, des producteurs de civilisation", parce que " l'humanisme du 20e siècle, qui ne peut être que civilisation de l'Universel, s’appauvrirait s'il y manquait une seule valeur d'un seul pays, d'une seule race, d'un seul continent..."
On présente dans ce pavillon quelques aspects d'une culture, jadis florissante au moyen âge et qui s'exprime à travers les formes multiples de l'artisanat ancestral: bijouterie ancienne, sculptures sur bois de toute beauté, souvent d'inspiration religieuse, où l'artiste philosophe essaie de traduire dans le bois de la forêt tutélaire sa conception concrète de l'équilibre universel.
Le "dialogue" avec les cultures des pays industrialisés s'intensifie, le mode d'expression se diversifie. De nouvelles sources d'inspiration, de nouvelles techniques, de nouveaux besoins naissent.
C'est ainsi qu'apparaissent les très belles tapisseries de Papa Ibra Tal, qu'on a comparées aux merveilles d'Aubusson en France, les tableaux étonnants de style et de fraîcheur, peints par de jeunes artistes sénégalais. L'artisanat prend deux visages très différents: tandis que le développement du tourisme crée une forme adaptée et commerciale des objets-souvenirs, par réaction les tenants de l'art pour l'art continuent, dans une ferveur quasi mystique, de ciseler avec amour les chefs d’œuvres de l'art sénégalais contemporain.
Parallèlement à cette démarche de l'art traditionnel, l'activité des poètes et des écrivains engendre une abondante littérature: poèmes profanes, contes et légendes, romans, essais, écrits religieux en français et en arabes.
Le pavillon du Sénégal réserve bien d'autres surprises à l'observateur avide de connaître une culture si variée et si attachante.
On présente dans ce pavillon quelques aspects d'une culture, jadis florissante au moyen âge et qui s'exprime à travers les formes multiples de l'artisanat ancestral: bijouterie ancienne, sculptures sur bois de toute beauté, souvent d'inspiration religieuse, où l'artiste philosophe essaie de traduire dans le bois de la forêt tutélaire sa conception concrète de l'équilibre universel.
Le "dialogue" avec les cultures des pays industrialisés s'intensifie, le mode d'expression se diversifie. De nouvelles sources d'inspiration, de nouvelles techniques, de nouveaux besoins naissent.
C'est ainsi qu'apparaissent les très belles tapisseries de Papa Ibra Tal, qu'on a comparées aux merveilles d'Aubusson en France, les tableaux étonnants de style et de fraîcheur, peints par de jeunes artistes sénégalais. L'artisanat prend deux visages très différents: tandis que le développement du tourisme crée une forme adaptée et commerciale des objets-souvenirs, par réaction les tenants de l'art pour l'art continuent, dans une ferveur quasi mystique, de ciseler avec amour les chefs d’œuvres de l'art sénégalais contemporain.
Parallèlement à cette démarche de l'art traditionnel, l'activité des poètes et des écrivains engendre une abondante littérature: poèmes profanes, contes et légendes, romans, essais, écrits religieux en français et en arabes.
Le pavillon du Sénégal réserve bien d'autres surprises à l'observateur avide de connaître une culture si variée et si attachante.
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